Accompagnement psychologique, énergétique et spirituel
Perte d'enfant, FIV, IVG,violence, viol, inceste, divorce, cancer
S'informer et agir pour guérir
Devenir acteur de sa guérison
Se libérer de ses mémoires fantômes
Jean-Marc LE GOFF
Mes diplômes, mes certificats
Je suis ingénieur de l'Ecole Centrale de Paris, Maître es sciences en Physiologie de l'Université Laval de Québec Docteur en Biologie et Habilité à Diriger des Recherches (HDR) de l'Université d'Aix Marseille II.
Je suis aussi certifié comme Maître Praticien PNL, Praticien hypnose ericksonienne, Praticien EFT, Praticien ennéagramme, Praticien thérapie quantique, Praticien sujokthérapie et Praticien réflexologie plantaire.
Mon rêve d'enfant : guérir le cancer
Enfant, je rêvais de devenir médecin ou chirurgien et de travailler sur le cancer. Dans tous les cas j'allais faire de la recherche médicale comme le héros du livre de Cronin "les années d'illusion".
Ma programmation parentale
Mais mon destin était programmé sans que je l'ai compris à l'époque. Un vieux général sur un banc public avait nourri le rêve de ma mère alors que j'étais bambin: son fils unique serait d'abord polytechnicien et après il pourrait faire médecine, si vraiment il y tenait.
Il faut dire que maman lisait déjà la promesse de l'Aube de Romain Gary quand elle était enceinte de moi. Du coup elle aurait volontiers fait de moi un consul, comme la mère russe possessive du futur Emile Ajar.
Après avoir obtenu mon bac avec une mention Très Bien, j'ai donc accepté un enfermement de 3 ans dans un prytanée militaire pour préparer polytechnique puis j'ai passé les concours d'ingénieurs et je suis devenu ingénieur de l'Ecole Centrale de Paris, mais bien sûr avec une spécialisation en Bio-ingéniérie.
Au bout de mes rêves
Puis j'ai réalisé mon rêve en devenant chercheur dans des laboratoires d'endocrinologie au Québec et de cancérologie en France.
Confrontation au réel
Après avoir obtenu mon masters en Physiologie à l'Université Laval de Québec où je montrais les limites des traitements hormonaux dans le traitement du cancer de la prostate dues à l'adaptation des tumeurs, j'ai effectué mon doctorat à Marseille dans un laboratoire de cancérologie.
Mes résultats dérangeaient les laboratoires pharmaceutiques qui avaient financé mon doctorat avec l'ARC (Association de Recherche pour le Cancer). Je montrais en effet que leur antiandrogène agissait en inhibant la respiration mitochondriale plutôt qu'en bloquant des récepteurs hormonaux.
En cela, il avait le même effet que l'herbicide à partir duquel il avait été synthétisé et qui rendait stériles les pauvres taureaux qui broutaient l'herbe traitée.
Quand on m'a obligé à réécrire ma thèse, j'ai compris que la recherche médicale n'était pas libre mais sous l'emprise du lobbying pharmaceutique.
Rassurez-vous, le problème des lobbies ne concerne pas seulement la recherche médicale, mais tous les domaines de la recherche. Quant aux agences de protection des aliments, de l'environnement, de la santé etc elles sont toutes sous contrôles des industries chimiques, biotechnologiques, agroalimentaires et des télécommunications.
Quelques bonnes lectures pour vous convaincre, dont certaines hélas ne sont pas encore disponibles en français et d'autres sont souvent bizarrement en attente de réédition.
Duncan Stirling, un jeune homme handicapé, défavorisé par le fait de naitre dans une famille pauvre, rêve d'être médecin. Alors que sa mère ambitionne pour lui un poste de secrétaire de mairie, Duncan va tout mettre en oeuvre pour atteindre son rêve.
Relégué dans un laboratoire à cause de son bras paralysé, il triomphera de tous les obstacles que la société mettra devant lui. Au moment d'atteindre la reconnaissance et la gloire pour ses recherches, il refusera le poste de chef de clinique qui lui est offert pour devenir ce petit médecin de campagne dévoué qu'il a toujours voulu être.
Un roman qui fait du bien et aide à croire encore à l'humanité et démontre qu'il y a une autre voie que le matérialisme et le clientélisme dans la société moderne. Ecrit en 1940 par Cronin, médecin lui-même, ce livre dénonce déjà la commercialisation outrancière de la médecine pour prôner un retour à des valeurs plus proche de l'éthique lié au serment d'Hippocrate.
« -Tu seras un héros, tu seras général, ...Ambassadeur de France – !
Je crois que jamais un fils n'a haï sa mère autant que moi, à ce moment-là. Mais, alors que j'essayais de lui expliquer dans un murmure rageur qu'elle me compromettait irrémédiablement aux yeux de l'Armée de l'Air, et que je faisais un nouvel effort pour la pousser derrière le taxi, son visage prit une expression désemparée, ses lèvres se mirent à trembler, et j'entendis une fois de plus la formule intolérable, devenue depuis longtemps classique dans nos rapports :
- Alors, tu as honte de ta vieille mère ? »
À l'aube de la vie, le narrateur se fait une promesse : ces années qui l'attendent, il les déposera aux pieds de sa mère pour réparer toutes les souffrances qu'elle a endurées. Il tâchera de combler tous ses désirs et de compenser par la gloire les humiliations que cette Russe immigrée, seule et sans un sou, a dû subir pour pouvoir déposer avec fierté, tous les jours, le bifteck du déjeuner dans l'assiette de son fils unique et adoré, ne se réservant que le gras de la cuisson.
Depuis vingt ans, Antoine Filissiadis anime des séminaires, des stages et des conférences dont les thèmes sont ; Choisir sa vie ou Comment quitter sa sécurité, traverser ses peurs et réaliser ses rêves. Jusqu'au jour où... lors d'une conférence, il rencontre Rolando Remuto, un professeur de danse excentrique qui le confronte à la question qu'il pose à son public : Qu'aimeriez-vous réaliser qui vous ferait vibrer ? Votre rêve ?
Grâce à cette rencontre qui le pousse à dépasser ses limites pour accomplir son rêve, Antoine va défaire les noeuds de son existence, vivre son corps dans le présent et cesser de douter dans l'inaction pour s'engouffrer dans un trésor inestimable : la vie.
Cette histoire, riche en événements, intrigante, qui dérange parfois, nous montre que nous sommes tous "saboteurs" de nos idéaux car enfermés dans nos peurs, notre passé, nos certitudes.
Chercheur en neurosciences et neuro-informatique
J'ai alors effectué mon post doctorat dans un laboratoire de neuro-informatique bifurquant des sciences de la vie vers les sciences de l'ingénieur. J'ai étudié des réseaux de neurones artificiels qui s'inspiraient du fonctionnement du cerveau et qui sont de puissants outils de traitement du signal, de l'image et d'analyse de données.
Chercheur sous contrat pour l'armée
Après un court passage dans un laboratoire d'analyses médicales, j'ai déposé un brevet et je suis devenu directeur de recherches dans une société d'ingiénérie biomédicale où j'ai développé des systèmes pour l'armée pour prédire la perte de connaissance de pilotes sous accélération à partir de l'analyse de la dimension fractale des électrocardiogrammes qui étend le concept de la variabilité cardiaque.
Avec la venue au pouvoir des socialistes, les budgets de l'armement en France ont subi des restrictions drastiques conduisant à stopper les recherches sous contrat avec les sous traitants extérieurs. J'ai dû arrêter mes recherches alors qu'un prototype avait été réalisé et validé et que l'on envisageait une expérimentation animale.
Les maladies et l'euthanasie de ma mère
Dans cette période, ma mère a développé une maladie d'Alzheimer et un cancer rare (rhabdomyosarcome) qui a proliféré à l'endroit même d'une ancienne vaccination. Des années plus tard j'ai trouvé le lien entre ce cancer et les métaux lourds contenus dans le vaccin.
Pour le reste, mes connaissances en physiologie, biologie et génétique ne m'ont été d'aucune utilité pour aider maman. J'ai du l'accompagner jusqu'à la fin dans une euthanasie qui a rajouté une expérience traumatique de plus à ma vie.
Découvertes des médecines alternatives
J'ai alors développé des troubles de somatisation avec des bronchites récurrentes pour lesquelles les antibiotiques restaient sans effet. Cela m'a conduit à franchir la porte des médecines parallèles : homéopathie, kinésiologie, EFT, densisterie holistique.
J'ai expérimenté avec succès les régimes sans lait, sans gluten. Je me suis débarrassé de mes amalgames de mercure en bouche et soudain mes allergies aux pollens, acariens, poil de chat et mes sinusites chroniques ont cessé. Je me suis donc intéressé tout naturellement à la naturopathie et à la diététique.
A l'époque j'ai commencé mes premières conférences sur l'alimentation et les maladies chroniques.
Mon expérience avec un psychanalyste
De bons amis m'ayant suggéré qu'une psychothérapie pourrait m'aider suite au décès de maman, j'ai fait une tentative avec un psychanalyste. Comme beaucoup de gens à l'époque, je pensais que psychothérapie signifiait psychanalyse, et en plus c'était remboursé par la sécurité sociale !
Au bout de 3 séances à parler seul devant un mur, j'ai demandé au bon psychanalyste ce qu'il me conseillait. Car voyez-vous, je ressortais de ses consultations encore plus mal que lorsque j'y entrais. En fait je me réassociais sans le savoir en séance à des événements dramatiques à lourde charge émotionnelle.
"Rien a-t-il dit". Il a alors comparé son travail à une fouille archéologique et m'a dit qu'il fallait attendre. J'ai pu alors exprimer ma première colère répératrice et mettre fin à une thérapie que je considère aujourd'hui comme dangereuse.
Des années plus tard, différents livres sont parus mettant en garde contre les dérives, les limites et les dangers de la psychanalyse, qui représente elle aussi un important lobby dans le domaine des psychothérapies.
Depuis longtemps déjà, des psychanalystes comme Alice Miller s'étaient insurgés contre la théorie de la séduction de Freud qui fait de l'enfant un "pervers polymorphe" qui rêve de relations sexuelles avec ses parents.
Comment Freud a-t-il menti sur ses résultats ? La psychanalyse guérit-elle vraiment ? Pourquoi continue-t-elle de culpabiliser tant de mères, notamment celles des enfants autistes ? Faut-il éduquer les enfants comme si le complexe d'OEdipe était une vérité établie ? Nos rêves et nos actes ont-ils tous un sens caché ? Autant de questions qu'il vaut mieux se poser avant d'accepter de s'allonger des heures face à un thérapeute qui cherche en vous l'explication de vos traumatismes par le blocage de vos pulsions sexuelles!!!
Découverte des thérapies brèves
Suite à ma déconvenue avec la psychanalyse, je me suis passionné pour les thérapies brèves que j'ai testées et que j'ai évaluées avec un critère très simple. Pour moi, une bonne thérapie est une thérapie où l'on ressort du cabinet du thérapeute en se sentant mieux que quand on y est rentré.
Validation de mon travail de recherche : HDR
Dans cette période troublée, j'ai passé, non sans peine, le plus haut diplôme universitaire (Habilitation à Diriger des Recherches) à l'Université de la Méditerranée (ex Aix Marseille II). Faire reconnaître un travail mixte science de la vie-science de l'ingénieur dont une partie avait été effectuée hors des laboratoires de recherche publics tenait du prodige dans notre pays qui ne reconnaît que le spécialiste au détriment du généraliste.
Songez que si vous avez une douleur près de l'oreille droite, vous ne savez toujours pas en médecine classique si vous devez consulter un ORL, un dentiste, un ophtalmologue ou un rhumatologue. Bientôt nous aurons un spécialiste pour chaque organe, un pour le sein gauche, un autre pour le sein droit, un pour l'homme, un pour la femme, un pour l'enfant. Bref tout l'inverse des médecines orientales ou des approches holistiques des médecines alternatives.
Etude sur des facteurs de risque pour l'iNSERM
L'an 2000 s'est passé sans que le bug prévu n'ait de répercussions planétaires comme escompté. Mon cerveau purement mental et analytique qui ne croyait jusqu'à présent qu'à la matière commençait à s'ouvrir tout doucement à un fonctionnement plus intuitif et intégré. Je m'intéressais de plus en plus à l'influence des émotions sur la santé et à la prédominance de l'énergie sur la matière dans le domaine du vivant.
Je réalisais alors des études sous contrat pour l'INSERM et un centre anticancéreux pour trouver des facteurs de risque du cancer du sein ou des calculs rénaux. Mes résultats montraient que les facteurs de risque chez les hommes et les femmes peuvent être très différents, ce qui plaident en faveur d'une médecine personnalisée adaptée à chaque individu.
Elles confirmaient de plus les limites d'un dépistage de masse des cancers, certains cancers étant très agressifs et impossibles à détecter à moins de dépister trop fréquemment les patients et d'augmenter leur irradiation, d'autres étant très peu évolutifs et conduisant à une surmédicalisation délétère en cas de détection trop précoce.